Extrait du livre blanc : "L’industrie de la fusion-acquisition connaît un taux d’échec régulièrement estimé au minimum à 50 %, voire à 70 %. et c’est sans compter les opérations qui échouent avant même leur réalisation (ex. : Publicis-omnicom). Comment est-il possible qu’un univers qui concentre les plus brillants stratèges et financiers de la place connaisse un taux de succès inférieur à celui d’un jeu de pile ou face ?
La complexité des opérations en est probablement l’une des raisons principales. mais serait-il possible que certains aspects soient négligés ? le capital humain par exemple ? dépourvus de certitudes mais bardés d’ambition, nous avons donc cherché à comprendre dans quelle mesure le capital humain entrait en ligne de compte dans la réussite d’une opération et comment faire en sorte qu’il devienne un véritable levier du succès."