Préparer l’avenir dans un secteur en pleine mutation.
"Des taxis qui volent, des Hyperloops, des véhicules autonomes, des avions régionaux électriques... Nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère dans le domaine des déplacements professionnels. D’ici 2030, les véhicules connectés intelligents auront révolutionné l’univers des voyages d’affaires. Douze ans, c’est peu, mais à la vitesse à laquelle les technologies évoluent, beaucoup de choses auront changé d’ici là. Pour s’en rendre compte, il suffit de remonter 12 ans en arrière : les smartphones et les applications mobiles n’existaient pas, Twitter allait faire son apparition, et Uber et Airbnb n’avaient pas encore été inventés. Mais d’ici 2030, certaines choses n’auront pas changé dans le domaine des déplacements professionnels. Les professionnels devront toujours voyager pour gagner la confiance de leurs clients et les employeurs assumer leur devoir de protection pendant que leurs employés parcourent le monde, travaillent dans des espaces partagés et utilisent les transports en commun. Le personnel aura des horaires flexibles et ne connaîtra plus les contraintes des environnements de bureau. Le devoir de protection deviendra même la référence, protégeant les employés tout au long de leur carrière, et pas seulement lors de leurs déplacements.
Grâce à l’analyse prédictive, les risques pour le voyageur d’affaires seront limités. Ils seront quantifiés et pris en compte dans les itinéraires, qui ne seront plus des listes arrêtées de tâches à accomplir, mais des éléments dynamiques, flexibles, intelligents et pilotés par l’intelligence artificielle. Ces itinéraires seront adaptés aux préférences du voyageur, respecteront la politique de l’entreprise en matière de déplacements et pourront être modifiés par chaque voyageur via une interface conversationnelle numérique. Les partenariats joueront un rôle majeur dans l’organisation de voyages sûrs et efficaces sur le plan commercial pour les employés de demain. L’objectif : que les nouveaux modes de partage et d’utilisation des données soient bénéfiques pour le voyageur, son employeur, les TMC et l’ensemble de l’écosystème."
