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Approche sociocognitive de la motivation dans les organisations publiques

Tout comprendre de l'approche sociocognitive de la motivation au travail.

  • EditeurGildas Neger
  • Version PDF - 30 pages - 2006 - Français
Approche sociocognitive de la motivation dans les organisations publiques

Introduction ou extrait du livre blanc

"On motive pour expliquer une stratégie, une nouvelle organisation, pour inciter au travail, pour mobiliser sans pouvoir jouer sur les espérances de carrières ou des augmentations de salaires… Mais la motivation nécessite que les objectifs attendus soient préalablement définis, que le responsable prenne conscience des implications directes et indirectes de ses objectifs, qu’enfin, il formalise et globalise afin notamment de personnaliser et d’intégrer les données extérieures à la vie de l’ensemble de l’organisation.

Dans la gestion des ressources humaines, les responsables des petites organisations publiques auront la responsabilité de motiver et de communiquer avec les agents car il n’y a pas, en général, de personne attitrée pour ce faire.

On pourrait penser qu’en deçà d’une cinquantaine d’agents, la communication se fait d’elle-même et que la motivation va de soit. Bien évidemment, il n’en est rien. Toute personne travaillant au sein d’une organisation a besoin de reconnaissance, de valorisation, d’informations. Or, motiver et communiquer demande de la réflexion. Très souvent, les petites structures se reposent sur des supports qui, à l’analyse, s’avèrent inutiles. Tel est très souvent le cas du « journal interne ». En réalité, les possibilités sont multiples et ne demandent pas forcément d’investissement, mais une préparation et un suivi.

On pourrait penser qu’en deçà d’une cinquantaine d’agents, la communication se fait d’elle-même et que la motivation va de soit. Bien évidemment, il n’en est rien. Toute personne travaillant au sein d’une organisation a besoin de reconnaissance, de valorisation, d’informations. Or, motiver et communiquer demande de la réflexion. Très souvent, les petites structures se reposent sur des supports qui, à l’analyse, s’avèrent inutiles. Tel est très souvent le cas du « journal interne ». En réalité, les possibilités sont multiples et ne demandent pas forcément d’investissement, mais une préparation et un suivi."

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